VIRUS
Pour les lecteurs qui n'ont pas lu le texte concernant Peter Weller, ce membre de ER-MONDE qui a dû quitter son emploi en novembre 2019, à cause d'une hypersensibilité aux parfums. Ce dernier aurait malencontreusement laissé croire qu'il serait lié à la propagation de la COVID-19, avant qu'elle se manifeste. Bien que son histoire soit incroyable, je me suis fait un devoir de la rapporter, car un peu avant la «deuxième vague» de la grosse maladie, présentée ainsi dans l'actualité, j'ai senti une odeur étrange à mon pupitre de travail. Chimique! Plastique! Fibre de verre! Je ne peux dire. Dans certains cas, la même odeur se retrouvait à l'extérieure, durant la nuit. Quelques jours plus tard débutait le radotage de chiffres concernant les contaminés et les morts, pour saluer l'arrivée des vagues. Par cette même foutue odeur, j'ai pu prédire des vagues avant les autorités. Le même phénomène, la même odeur,cette fois en octobre 2022, avant qu'on nous annonce l'arrivée d'une huitième vague. Enfin, un retour de cette odeur le 5 décembre 2022. Si cela suit les mêmes étapes, nous devrions avoir une neuvième vague vers les Fêtes.
En octobre, celui qui fut le messager d'un grand média qui annonçait la huitième vague était un scientifique à la retraire. En décembre cette fois, le ministre de la Santé Christian Dubé prenait plus de place pour préparer la vague. Il était à cette fin accompagné de gestionnaires de la santé et de journalistes. Ce qui change est que dès octobre on retrouvait un caillou dans les chaussures de ces gens. Il est vrai qu'en octobre, la gestuelle du scientifique traduisait les tics du mensonge, mais au-delà de cette impression on annonçait la parution prochaine d'une version de Pinocchio du réalisateur Guillermo del Toro. Ce classique écrit en 1881 par le journaliste Carlo Collodi (1826-1890), tourne autour d'un pantin dont le nez allonge lorsqu'il ment, ce qui peut devenir problématique lorsque vient le temps d'enfiler un masque sanitaire. Mais encore, la marionnette a pour conscience un petit criquet, ce charmant insecte que je présente dans l'Oreille, qui me semble se porter mal en 2022 et qu'on espère dévorer pour éviter que les flatulences de vaches fassent exploser la planète.
Pendant que les nez allongent, j'en suis à chercher un sens aux odeurs à travers des fréquences électromagnétiques. Pour seul repaire, des histoires d'ionisation de l'air qui provoqueraient des odeurs liées aux mouvements des molécules d'ozone. Suis-je près de la folie? Si c'est le cas, heureusement, je ne suis pas seul. Certains croient que la COVID-19 serait un virus militarisé par gains de fonctions (manipulation génétique) venant des États-Unis. J'ai abordé le dossier dans le texte Des potiniers ont transformé la science en une pléthore de médiocrité, publié par Vigile le 2 mai 2022, en reprenant des propos du Dr David Martin. Ce directeur et fondateur de M-CAM International, une entreprise qui observe les liens commerciaux et médicaux de brevets concernant des micro-organismes modifiés, affirme que le 5 juin 2008, la DARPA, branche sanitaire de l'Armée étasunienne, se serait intéressée au coronavirus en tant qu’arme biologique. Auparavant, une information similaire fut dévoilée dans la vidéo The Anglo-Saxon Mission, explained by Bill Ryan : a Project Avalon video de Bill Ryan présentée par gracieuseté de MP, un messager motorisé de C3, sauf que Ryan ajoute que le virus aurait été créé pour «donner la grippe aux Chinois».
Je ne sais pas s'il s'agit de la pure vérité. Nez longs ou non, la gestion la COVID-19 a étendu les maux vers des pénuries alimentaires et énergétiques. Mais encore, pour combattre cette créature, on a poussé l’idée d’une solution unique qui est celle d’un vaccin qui n’a plus rien de vivant, dans le sens qu’il n’est plus conçu à l’aide de virus désactivés. Il s’agit en fait d’un assemblage synthétique d’ARN messager qu’on imprime en 3D à l’aide de l’agencement mécanique des protéines. Ajoutons qu’on peut transmettre ces séquences dans tout le globe, par des ondes WI-FI, afin de reproduire le même potage génétique par impression.
Les dix étapes vers une dictature par ls voie de l'absurdité
Si nous réussissons à traverser les prochaines décennies, nous pourrons affirmer, sans l'ombre d'un doute, qu'il sera question de cette grosse maladie dans les livres d'histoire, sans pour autant savoir si cela ridiculisera les autorités politiques, médiatiques et sanitaires ou les satanés «complotistes» de «l'extrême droite» qui ont en eux la graine de «terroristes» et de psychotiques. La tendance décidera-t-elle aussi de ramener les souvenirs des 6,6 millions de décès de la COVID en 30 mois à notre mémoire, ou les victimes de la vaccination? Idéalement, une histoire bien écrite devrait nous informer que le virus a frappé à un moment de notre histoire qui a multiplié la quantité de chefs de pays sans lustre, sans colonne vertébrale et sans identité, en laissant l'impression d'une plus grande sénilité. Mais encore, que penser de ces chroniqueurs journalistes qui possèdent le don de se transformer en scientifiques et qui, à la place de soigner les gens, les ont gavés de haine et de tourments.
Magnifique société. Ajoutons qu'avec la venue du virus, nous avons vu la société s'initier aux mathématiques d'une deuxième année pour les enfants de 7 ans. Apprendre à compter le nombre de morts... Trois ans plus tard, toujours dans la même classe, à additionner le nombre de macchabées, question d'éviter d'aborder l'idée que la gestion du petit virus fut une opportunité pour retirer des droits et libertés à la population pour les préparer à abandonner la démocratie. Bien que ce fut une surprise pour beaucoup, dès 2007, la journaliste et écrivaine Noami Wolf a traité dans The End of America de l’émergence d'une dictature à travers ces dix étapes servant au contrôle de la population:
Invoquer une menace externe et interne.
Créer des prisons secrètes.
Développer une force paramilitaire.
Surveiller des citoyens ordinaires.
Infiltrer des groupes de citoyens.
Détenir et relâcher arbitrairement des citoyens.
Cibler les individus-clés.
Restreindre les médias.
Qualifier la critique d’«espionnage» et la dissidence de «trahison».
Renverser l’autorité de la loi.
Avec le gros méchant virus, la majorité de ces étapes sont franchies. On a utilisé la COVID-19 comme une menace externe et interne, on a ciblé des citoyens, saisi des biens et bloqué l’accès aux comptes bancaires. Ajoutons que cela a été possible au Canada en renversant l’esprit des lois et la Constitution. Par la suite, on a implanté des camps de détention, espionné 33 millions de téléphones de Canadiens et plutôt que de frapper sur les espions, on a préféré utilisé les mots «édentés», «complotistes», «covidiots», etc., pour les isoler du troupeau et semer l'idée que les personnes qui sont tannées d'être assises derrière le pupitre d'une classe de deuxième année seraient victimes d'une psychose.
Ne pas plier les genoux devant l'absurdité est plus que souhaitable. Ce n'est pas que je crois que le satané virus serait une farce, mais que derrière cette petite créature qui ne demande que de survivre, il y a pire: les gros virus. Avant les mesures sanitaires, ces derniers se réunissaient pour lutter contre les changements climatiques avec la même insignifiance et la même classe de deuxième année. Disons un programme allégé qui s'est imposé par une restructuration de ce qui doit être enseigné dans la classe de deuxième année. Cela s'est fait en balayant le Rapport Meadows de 1972 qui mettait la science et les statistiques au service d'une proposition de mettre un terme à la croissance, pour éviter la disparition de l'humanité. En d'autres mots, il fallait arrêter l'exploitation des ressources et la croissance démographique, pour éviter la disparition de l'humanité, ce qui n'est pas très payant pour le capital. Pour conséquence, en 1987 les gros virus ont opté pour la prolongation du pillage, en s'appropriant du terme «développement durable» mis de l'avant par le Rapport Brundtland.
En 2022, 50 ans après le Rapport Meadows et 35 ans après que des mondialistes aient décidé de tabletter ce rapport pour pousser le développement durable du Rapport Brundtland, la classe de deuxième année est composée exclusivement d'adultes qui commencent à ressembler à des idiots. Pour résultats, au Canada 20% des espèces sont en voie d'extinction pendant que des incompétents traitent des dangers des pets de vaches devant leurs téléphones WI-FI. L'esprit absorbé par le trou noir, ils réagissent comme des psychotiques en associant à des extrémistes de droite ou des «complotistes» celles et ceux qui cherchent la vérité et désirent améliorer la posture morale des citoyens.
C'est tout de même étrange qu'après avoir balayé la science du Rapport Meadows, on se retrouve devant des individus qui s'organisent en clans, comme des malfaiteurs, pour frapper sur celles et ceux qui aimeraient changer de classe. Ces personnes, dont les réactions plus que prévisibles aux conneries et mensonges des gros virus, sont pratiquement les seules traces d'intelligences dignes de ce qualificatif. Une petite liste en comparaison à celle où se retrouvent les noms de gros virus.
Débat entre deux trios LSD
Par ces quelques mots, je ne tente pas de fustiger des innocents qui meublent la télévision quotidiennement, au point de nous faire oublier les émissions Passe-Partouse et Babino. Être indigne de ses fonctions est un droit qui s'applique à tous et cela n'a pas de prix, peu importe le salaire d'un député, d'un premier ministre ou d'un cadre d'entreprise. Par contre, cela ne devrait pas nous enlever le droit de débattre et de nous rappeler que notre monde a été construit par des marginaux. Et plus le temps avance et que les imbéciles se multiplient, plus nous levons notre nez sur la grande Greta Thunberg, cette jeune porte-parole de la gauche mondialiste qui a visité Montréal quelques semaines avant l’arrivée du gros virus, pour avoir le goût de Giorgia Meloni, cette politicienne italienne qu’on associe à la droite et qui est détestée par les gros virus de Bruxelles.
Si on me refuse un tel charme chez moi, je crois sincèrement que ce régime viral ne pourra faire autrement que me pousser vers la consommation d'hallucinogènes. Est-ce possible de résister à l'appel, même pour m'adapter ou me punir pour oser penser librement, alors que cet acte est devenu démodé? Comprenons que lorsqu'on traite d'une histoire de peste aussi incongrue, cela ne peut que nous inciter à revenir au témoignage de Peter Weller concernant le trio LSD. Pour les personnes qui n'ont pas lu le texte du monsieur au chapeau, il s'agit de trois gestionnaires qui croient que la liberté de sentir bon doit prédominer sur celle de préserver sa santé. Bref, un comportement hallucinant qui a incité la COVID-19 à sortir de sa grotte de la Caroline du Nord pour frapper fort.
Pour continuer sur la même voie, j'ai créé deux trios LSD. D'un côté, la journaliste Julie Lévesque, l'artiste de Québec Stephen-Guy Sevigny et le fondateur de l'Union Conservatrice, Richard Décarie. De l'autre, Patrick Lagacé du Journal La Presse, Ian Sénéchal, animateur et auteur de Québec et Éric Duhaime, le chef du Parti conservateur du Québec (PCQ) et source d'inspiration du texte Le syndrome du rétrécissement fait des ravages. Le projet LSD a été refusé, à ma grande déception. Peut-être un jour, l'équipe de l'émission Le Monde à l'envers, animée par le journaliste Stéphane Bureau, saura reprendre la formule. Qui vivra verra.
Les années 20
Sommes-nous condamnés à une perpétuelle deuxième année d'école primaire? Le choix de Julie Lévesque et de Patrick Lagacé a été le fruit d'une analyse serrée de nombreux candidats, pour en arriver à la conclusion qu'il fallait des journalistes qui sont les plus propices à développer sur les années 20. Lagacé fait des efforts pour intéresser à l'actualité, les personnes dans la vingtaine, tout en ayant animé l'émission d'affaire publique de Télé-Québec Nos années 20. Pour Julie Lévesque, elle tente aussi de capter l'attention des jeunes adultes qui s'intéressent à l'information, ainsi qu'aux années 20. Il y a par contre une petite différence. Alors que pour Patrick Lagacé, les années 20 sont presque exclusivement les années 2020 à aujourd'hui, de son côté Julie Lévesque vise plus largement les années 20 du XXe et XXIe siècle.
Ce regard vers le passé est essentiel pour comprendre que les modes, engouements, prises de position, tendances, etc., sont orchestrés par des manipulateurs de l'opinion publique. Il faut aussi rappeler que cette tendance s'est imposée en fonction d'un consumérisme au service du capital, il y a près de 100 ans. Ces années 20 ont chambardé l'information, en la transformant en propagande, par le soutien entre autres de Edward Bernays (1891-1995). Ce journaliste de formation rappelle quelques potiniers de nos années 20 qui sont passés d'amateurs d'affaires publiques, pour se métamorphoser soudainement en scientifique aux dents pointues, sans même attendre la pleine lune. Bernays fut journaliste, pour ensuite devenir rédacteur et coéditeur de Medical Review of Review. Après s'être épanoui dans la science, il devint celui qu'on qualifie de «père des relations publiques».
Plutôt que de mousser une campagne de vaccination pour une transnationale criminelle, Bernays décida d'amener les femmes à se mettre une cigarette au bec, sans s'inquiéter des effets sur la santé des dames et de leurs enfants. Par la suite, il a pondu Propaganda (1928), un petit livre présenté lors d'une émission de radio mettant en scène Julie Lévesque. Cet ouvrage a ensuite inspiré les politiques de Joseph Goebbels au sein du Propagandaministerium (ministère de l’Éducation du peuple et de la Propagande du Reich) fondé en 1933 par le parti nazi. Quelques années plus tard, ce ministère se composait de 17 départements qui s'étendaient dans les médias, la culture, les droits, la défense, les travailleurs de l'état, la littérature et le tourisme.
Je m'attends à ce que quelques «complotistes» trouvent dans mes propos des éléments pour pousser des idées délirantes, dont celle que ce Québec composé de 17 régions administratives serait contrôlé par des Reptiliens qui seraient derrière un quatrième Reich, le programme de contrôle mental MK-ULTRA et les usines de criquets de l'Ontario. Soyons sérieux. Si c'était le cas, le Québec ne serait pas aussi lent à agir, à moins qu'on en arrive à croire que ces Reptiliens seraient des descendants des tortues. Mais encore, de souvenir, je ne peux m'imaginer des Reptiliens s'intéresser autant aux bananes. L'augmentation du prix de fruit a meublé l'actualité à la fin de novembre 2022. Auparavant, en 1954, le même Edward Bernays a su éviter qu'une telle augmentation puisse nous affecter, en soutenant un coup d'État de la CIA contre le président du Guatemala Jacobo Árbenz Guzmán (1913-1971). La raison reposait sur sa politique de nationalisation de terres agricoles qui menaçait les gains de United Fruit (Chiquita Brand) qui oeuvrait à la culture de bananes.
Dix ans plus tard, la même orchestration de la propagande a préparé l'invasion des Beatles en Amérique, un dossier présenté dans Le gouvernement mondial (1) de Fidel Castro (1926-2016). Par la suite, les Beatles ont été utilisés pour mondialiser la culture, l'encadrer des ferveurs industrielles (l'industrie culturelle) et étendre des dogmes, genres de vie, ce même consumérisme de relations publiques. Le faire en resserrant les liens entre l'Occident et l'Orient en empruntant le sentier du mondialisme. C'est ainsi que lentement et sûrement, la religion s'est transformée. Le Vatican n'y échappe pas. Alors que cette institution catholique tente une union des grandes religions, en 2010, Osservatore Romano, l'organe médiatique du Vatican, a souligné l'importance de l'oeuvre des Beatles et a affirmé que le disque Revolver (1966) se retrouvait dans le top 10 du pape Benoît XVI.
Comme une odeur de mort masquée par le parfum de la résistance
Douze années après, les armes de poing occupent le palmarès des sujets qui préoccupent Valérie Plante, Justin Trudeau et toutes ces personnes qui se retrouvent dans les rangs de firmes de relations publiques, telles McKinsey & Company, qui nous invite à obéir à des délires sanitaires qui fragmentent la société et isolent les gens. Cela a même très bien fonctionné, au point de me retrouver seul avec mon Wogmob, à tenter de saisir la réalité.
Je le sais. Il m'arrive parfois de faire le pitre ou de balancer quelques mots rigolos pour briser mes maux. Je reste par contre d'un genre méfiant et sceptique qui évite de s'enfoncer dans certains sujets. Entre autres, il y a cette croyance qu'il y aurait des produits toxiques dans le gaz d'échappement des avions. Ce qui est connu sous le nom de chemtrails. J'ai toujours évité de traiter de ce dossier, jusqu'à ce que je sois plongé dans une observation étrange, le 24 juillet 2021, que j'ai tenté d'exposer de mon mieux dans cette vidéo en basse qualité: La petite histoire des micro-organismes qui sont venus du ciel. Ce qu'on peut retenir des informations qui se retrouvent dans la vidéo et que dès la fin des années 40, le gouvernement étasunien a étendu des maladies dans l'espace public, dans le cadre du programme Seaspray! À cette fin, les tuyaux d'échappement d'automobiles furent utilisés pour étendre une grippe dans la ville de San Francisco. Afin de garder mes deux pieds sur terre, ou mes 60 cm sur le sol, si vous utilisez le système métrique, à la fin de la vidéo, j'ai promis de revenir avec une suite, en espérant démontrer que les chemtrails ont peu ou pas de liens avec des contaminations virales. Malheureusement, des chiffres ont démontré une croissance du nombre de cas de victimes de la COVID-19, ce qui a été précisé dans La conclusion de la petite histoire de micro-organismes venus du ciel.
En fait, nous n'avons pas besoin
de croire aux chemtrails pour savoir que
des virus nous menacent. Ils sont là, cachés pour que nous puissions les
multiplier contre notre gré. Certains se
retrouvent sur des objets, dans la salive, les déjections, dans l’air, le
ciel, l’eau et la terre et peuvent aussi être présent
dans des trainées d'avions. Nous la savons, il y a aussi d'autres
virus qui sont assis devant des tables de réunions, des microphones,
caméras, tableaux, claviers ou des écrans
d’ordinateurs, dans l’intention de nous utiliser pour reproduire des
croyances, des messages, des idées, des formes d’arts, appliquer des
philosophies ou des actions pour optimiser les gains et
rétrécir la nation.
Comment éviter les contagions? Le seul mot qui me vient à l’esprit est «résistance». Est-ce une invitation à manifester et à crier «mort à Legault» en écoutant des chansons de la Jamaïque, une autre colonie britannique, au nom d'une libération du Québec? Est-ce en jouant du Lait de Zeppelin pour contester les augmentations du prix du led? Je fais plutôt référence à cette immunité qui permet à notre corps de lutter contre l’invasion des petits virus. À une échelle plus large, il y a l'idée que le corps et l'esprit ne font qu'un. Dit autrement, sauver sa chair en avalant quelques vitamines devrait venir avec une bonne dose de connaissance, de la philosophie, de la science, en passant par l'art et tout ce qui peut nourrir la liberté de débattre, de critiquer, réagir, bouger au nom d'une posture morale qui sert la vie, son équilibre et sa raison d'être. C'est aussi l'urgence de mettre en valeur les journalistes qui élèvent la pensée, au risque de se faire accuser d'exister et d'arrêter de prendre son nombril pour une laveuse de linge sale. Bref, se défendre contre les gros virus, leurs menaces, les propagandes, les mensonges et tout ce qui est l'héritage des années 20.
Une fois qu'on résiste de corps et d'esprit, on découvre qu'il y a du bon sens dans certaines maximes, dont celle qui dit que la parole est d'argent et que le silence est d'or. De cet angle, moi qui ne suis pas vous, je crois qu'à la place de manifester en pensant changer le monde et de le refaire avec le même objectif, alors que ça ne marche pas, n'a rien à voir avec de la résistance. Je crois aussi que servir un politicien qui a oeuvré pour une organisation non gouvernementale qui se retrouve sur le parapluie de la CIA pour agir sur l'opinion publique, ce n'est pas de la résistance, mais un des symptômes d'une contamination virale qui affecte notre jugement et notre esprit. La résistance n'est pas l'art de se démarquer dans la classe de deuxième année, mais de graduer.
Avant l’arrivée de la COVID-19 en mars 2020, je peinais à croire que l’humanité avait les capacités pour résister aux virus, peu importe leurs grosseurs. Mon observation s’expliquait par notre tendance à les servir en ignorance de cause. Comment? Alors que nous étions nombreux à marcher en fixant le sol, pendant que nous étions victimes des mesures sanitaires, auparavant nous regardions en l'air, alors que de nombreux cas d'injustices, de maltraitance d'enfants et d'aînés se multipliaient. Ajoutons à cela un genre de vie qui fragilise notre immunité par un abus de médicaments, d’aliments dénaturés, de cultures et d'éducations pour immondices, répondant plus aux besoins du capital que de l'humain et la vie. Lorsque la COVID-19 est arrivée, non seulement rien n’a changé, mais le petit virus nous a exposé une carence de connaissance, de vérité, de mouvements et d'authenticité, répondant toujours au capital. Pour conséquence, nous avons découvert l’humain silencieux et menotté. Celui qui se tait lorsqu’on lui donne un vaccin, ou qui subit les foudres de la répression s'il le refuse. Pour conséquence, nous avons accepté d'ajouter des gens à la liste des enfants abusés, des aînés maltraités, des hommes dépossédés et des femmes violentées.
Lorsqu'on traite de résistance contre les virus, nous devons aussi aborder notre lien très serré avec l'argent. Se laisser prendre au jeu de propagandes de firmes de relations publiques nous transforme en des consommateurs qui finissent un jour ou l'autre par aborder le monde en fonction de la valeur marchande des objets et de cette idée que le développement économique exige de les remplacer, voire de s'organiser pour que nous soyons obligés de le faire par la programmation obsolète. Pour conséquence, avec les décennies, nous nous sommes passablement éloignés de cette époque où nous comprenions les rudiments de ce que nous achetions. Nous pouvions ainsi trouver une chaussure à notre pied, en passant chez un cordonnier qui faisait tout pour optimiser notre confort en nous expliquant les avantages des différentes semelles, voire éviter que les chaussures soient la cause d'un mal de dos. C’est terminé. Nous sommes entrés dans l'ère d'une standardisation qui décide de la fabrication de biens, qui se fait au détriment de celles et de ceux qui ne répondent pas aux standards industriels. Cela vient avec une imputabilité qui décide que la personne qui se retrouve avec des troubles articulaires, à cause de mauvais souliers, puisse se taire, ou mieux consulter un orthopédiste. Mais encore, malgré qu'on bouffe du boeuf en masse, le cuir est de plus en plus rare et le sera encore plus lorsqu'on les remplacera par des criquets.
Cela n'est qu'un début. Avec la multiplication des virus, gros et petits, nous étendons cette relation avec l'objet vers la vie en générale et l'humain. Le droit de se débarrasser d'animaux et proposer le suicide assisté, afin de minimiser les coûts. Et lorsqu'on en arrive à conjuguer notre comportement acquis avec l'arrivée d'un virus, ne serait-il pas important de se demander si nous aurions été autant réceptifs à l'idée de recevoir un vaccin contre la COVID-19, si nous avions été informés qu'il s'agit en réalité d'une thérapie génique et que ce mot «vaccin» fut autorisé seulement en 2009, pour éviter d'inquiéter la population. En d'autres mots, avec la vaccination massive nous sommes devenus des cobayes d'expériences génétiques. Alors que le L d'un des deux trios LSD reste silencieux, l'autre se fait invectiver pour avoir osé enquêter sur le dossier. Non seulement la propagande sert à imposer des mensonges, mais cela pourrait ressembler à un «crime contre l'humanité», des mots qui furent utilisés par des scientifiques qui ont été attaqués. Bref, en suivant ce lien, vous pourrez avoir les chiffres, écouter ou regarder son entrevue avec Hélène Banou. Un vrai délice pour l'esprit. Mais encore, par cette importance du consumérisme qui s'étale par les relations publiques, aurions-nous posé des questions, comme nous le faisons lorsqu'on se procure un bien, si la dose avait coûté 9,95$?
Le progrès c'est le changement
Devrions-nous opter pour une bonne lobotomie, ou mieux, la castration de notre encéphale, pour devenir des citoyens qui ne soient plus la cible de gros virus qui rêvent d'une planète parfaite qui ressemblerait à une grosse classe de deuxième année? Personne ne s'en plaignait avant mars 2020. Nous étions tous assurés de recaler dans la joie et le bonheur. Après, la venue de la COVID-19 est devenue une occasion pour exclure, punir, insulter et menacer les personnes qui ont refusé la solution vaccinale et les gentils professeurs se sont transformés en bourreaux. Mais encore, outre le manque de connaissance et de débat, cela s’est fait sur le dos de la remise en question de la posture morale. À cette fin, nous avons accepté, avec une facilité déconcertante, que les gros virus n’avaient pas à nous informer que Pfizer est une entreprise criminelle qui a cumulé près de 10 G$ en amendes, dont 2,3 G$ en 2009 pour falsification des données et corruption des scientifiques et que la firme Mc Kinsey qui a géré les mesures sanitaires dans une vingtaine de pays, dont le Québec, a été liée à des dizaines de milliers de décès de surdose d’Oxycontin aux États-Unis.
Devant ce spectacle, il est important d'ajouter que Walter Lippmann (1889-1974), celui qui a été derrière la création de la Beatlemania et qui fut associé au «mentor de Bernays», a écrit cette phrase significative dans Public Opinion (1922):
Pour mener à bien une propagande, il doit y avoir une barrière entre le public et les évènements.
Ces mots sont notre histoire. Celle d'une société qui ne cesse de se parjurer et de multiplier les bêtises et mensonges et qui prend pour appui le progrès technologique pour courtiser la classe. Actuellement, le progrès repose essentiellement sur les manipulations de l’ADN, les micros-puces, les communications WI-FI et la numérisation des données. On en arrive alors à encoder l’ADN, à comparer les structures, isoler des gènes, à les numériser, à les envoyer vers des périphériques par des systèmes de transmissions numériques.
Mon intention n’est pas de remettre en question ce progrès, à savoir s’il provoque des décès sur le long et court terme, mais l’idée que l’acceptation du changement pour répondre aux besoins du progrès nous amène à devenir des cobayes d’expériences. C’est non seulement le cas avec les vaccins contre le petit virus, mais aussi une occasion, je le répète, pour exclure celles et ceux qui refusent d’être les cobayes de gros virus afin de lutter contre un petit virus. Mais encore, cela ne s’arrête pas là. Actuellement, au Québec, le refus d’utiliser des cartes de plastique pour utiliser le transport en commun de la ville de Montréal ou accéder aux parcs provinciaux provoque automatiquement l’exclusion. Ce n’est rien en comparaison avec ce qui nous pend au bout du nez. Oublions les traitements des ressources humaines. Je pense plus ici à l’idée d’être marqué comme on le fait avec les bêtes d’un cheptel. Oublions le passeport sanitaire ou la citoyenneté numérique. Nous sommes à l’heure de la biométrie et des implants en conformité avec le programme Horizons du bon gouvernement canadien.
Je sais: le mot «gouvernement» est pour beaucoup le synonyme d'une autorité bienfaisante qui organise la distribution des richesses pour préserver l'ordre social et renforcir les faibles. Actuellement, nous pouvons dire que la bonne veille propagandaministerium des firmes de relations publiques a produit des milliers de tonnes de gros virus désorganisés, un peu obtus et souvent incompétents. Pour conséquence, cela vide le peu de force qui reste chez de nombreuses personnes qui se débattent pour de l'aide, dont celles qui ont été victimes des mesures sanitaires.
Vous savez, le progrès technologique n'est jamais ce que l'on croit. Question de préciser, il est une étape nécessaire pour atteindre un objectif lentement, pour ne pas brusquer l'industrie. Ainsi, alors qu'on nous vend l'idée d'un nouveau genre de reproduction, ailleurs des gens espèrent l'immortalité en transférant leur conscience dans un nouveau corps. Jadis, ce rêve était partagé par des satanistes et des occultistes. Est-ce encore dans l'agenda aujourd'hui? Si nous nous laissons tenter par des principes philosophiques et spirituels, nous risquons d'être emportés par l’idée que la vie travaille pour la vie. J’y crois profondément. J'accepte du même coup l'idée que les propagandes nous enfoncent dans une gestion de la mort qui fait ressembler notre société à un laboratoire lugubre.
Par le même progrès, on s’offre la capacité de reproduire une copie synthétique d’un individu et de le reproduire dans une imprimante amniotique, après s’être assuré d’une manipulation de l’ADN, afin de l’améliorer. Êtes-vous prêts pour ce jour? Moi je crois qu’avant de penser à copier le vivant, nous devrions nous demander si l’âme existe. Disons que je ne peux vous offrir les bons arguments pour débattre de la question. Je peux par contre dire que ce qui différencie un animal et l’humain est sa capacité de croire en Dieu, de l’expérimenter et d’en faire les bases d’une résistance qui exige d’être supportée par une posture morale qui répond au besoin de la vie. Je ne tente pas de vous faire la morale. Je crois simplement que lorsque nous ne sommes pas disposés à appliquer notre sens des responsabilités pour nous mettre au service du vivant, on doit nécessairement prendre la voie de la résistance pour lutter contre les effets de l’incompétence.
Sur ce point, je crois que la grosse maladie nous a montré les nombreuses déviances de l’incompétence. J’ajoute que lors de la campagne électorale québécoise de 2022, ce qui m’a le plus surpris est cette impression que cette incompétence se retrouve chez les personnes qui désirent s’implanter dans le pouvoir politique. Et plus la campagne a avancé, plus je constatais que cela se découvrait par une volonté à banaliser la mort et l’«animalisation» de l’humanité. Ainsi, on s’est livré à une campagne électorale qui a exposé les changements climatiques, tout en ignorant qu’ils sont les conséquences de propagandes écologiques au service de la mort. Je pense ici aux mots «développement durable». En 2004, Jean Charest, premier ministre du Québec et chef du Parti libéral du Québec (PLQ), a opté pour l’utilisation de ce terme pour façonner une impression de rigueur scientifique dans le bradage des ressources du Québec. À l’époque, je fus même surpris par cette idée du PLQ de pondre un oxymore aussi confondant que «sépulture vivante» ou «douleur apaisante». Tout autant par la rapidité de nombreux médias pour avoir intégré les mots «développement durable» dans leurs salles de nouvelles.
Malheureusement, je suis aussi un ignorant qui se comporte parfois comme un gros virus. Ce n’est qu'en août 2022, que j’ai appris que ces mots ont été empruntés à l’ONU. Selon Mœurs: De la gauche cannibale à la droite vandale, de Alain Deneault, ils furent inscrits, dès 1987, dans un rapport ayant pour titre Notre avenir à tous. Il s’agit d’un document qui fut signé par «l’ex-première ministre de la Norvège et ex-ministre de l’Environnement Gro Harlem Brundtland», celle qui se retrouva à la tête de l’OMS de 1998 à 2003, avant de se mettre sur le dossier des changements climatiques. Ce qui fut qualifié de Rapport Brundtland permit de détourner le grand thème du Rapport Meadows du Club de Rome de 1972. Une vraie étude statistique et scientifique qui affirmait que la «croissance du capital [et la] pression que sa grande industrie [font subir aux] territoires et océans» menacent notre survie. Ainsi, en 1987 on décida qu’il était préférable de traiter du développement durable de Gro Harlem Brundtland que de mettre un terme à la croissance proposée par le Rapport Meadows.
Cinquante années après le Rapport Meadows, le développement durable de l’ONU a évolué vers un «enveloppement durable». C’est l’art de placer un tissu protecteur entre la disparition intensive d’espèces animales, d’insectes pollinisateurs, de forêts, etc., et des industries, pour éviter de nuire à la croissance de gains. En 2022, ce même «enveloppement durable» décide de marteler l’idée que le massacre de la biodiversité serait causé par les changements climatiques. L’idée n’est pas de croire ou non, mais de constater que celles et ceux qui adhèrent à l’idée de l’enveloppement durable, pour ne pas s’attaquer à la lucrative industrialisation, sont souvent les mêmes qui ovationnent les accointances entre l’ONU et l’État et qui décident que les résistants sont des idiots.
De là, permettez-moi de vomir sur les castres mondialistes qui vont en politique pour sermonner les gens, sans les informer, que ces mêmes dirigeants dictent le naufrage de l’humanité et sont complices de politique qui nous plongent vers une société totalitaire. Et bien que personne ne comprenne comment ça fonctionne, on sait par contre que l’ignorance mandate ces deux options:
Le contrôle total du bétail.
Son euthanasie.
Rejoindre les toupeaux de vaches
Alors que le Débile inc. oeuvre à ses deux alternatives, nous sommes nombreux à chercher la raison dans des animaux. Un beau gros chat pour redonner un sens à sa vie! Malgré l'attraction du félin, je crois que les grosses vaches peuvent aussi nous apporter un peu de bien-être. Depuis l'arrivée du virus en mars 2020, la fuite de vaches hors de leur enclos a meublé quelques textes dans les grands médias. Ainsi, après quelques escapades aux États-Unis en 2021, voilà que le Québec a vécu le même phénomène en novembre et décembre 2022. Une vingtaine de vaches ont quitté leur enclos de la Mauricie, à la recherche d'un monde meilleur.
Je comprends que des vaches puissent s'évader pour éviter d'être les victimes d'idiots utiles qui ont décidé que leurs flatulences étaient la cause des changements climatiques? J'adhère tout autant à la croyance que les vaches ont la capacité de réfléchir, lorsque je constate qu'elles réussissent à échapper aux autorités qui représentent les gardiens de notre sécurité. Je suis par contre inquiet que nous refusions d'imiter le comportement de ces bêtes, alors que les relations publiques nous informent, depuis plus de 100 ans, que la liberté se gagne en brisant les clôtures. Cela comprend cette foutue «barrière entre le public et les évènements» de Lippmann, qui assure le bon fonctionnement des propagandes et l'échafaudage de tours de mots et d'expression passant des pets de la vache aux grognements des «complotistes». Peu importe si nous sommes plus près des vaches ou des humains, on doit ajouter que le silence qui noie la COVID19 sert à préserver les barrières qu'on dresse entre nous et l'information. Mais encore, pouvons-nous croire que la culture de haine que des potiniers que les grands médias exploitent, pour proposer la censure, l'emprisonnement et la perte de droits à celles et ceux qu'ils associent à des «complotistes», soient pour éviter que la barrière puisse tomber et ainsi nuire à la propagande?
Il y a évidence que depuis mars 2020, les gros virus sont devenus les complices du petit virus, au point que la quantité de sages qui a été sanctionné par la Propagandaministerium, pour avoir osé affirmer que la vaccination risquait de provoquer un trouble d'immunité, augmente chaque jour. Le dernier cas dont j'ai eu connaissance est celui du Dr Louis Fouché dont le compte bancaire conjoint a été saisi, comme ceux des camionneurs qui ont manifesté à Ottawa. Pendant ce temps, en décembre 2022 nous vivons une croissance importante d'hospitalisations d'enfants dans les hôpitaux à cause de troubles respiratoires. Alors que le Propagandaministerium s'amusait à répéter en 2021, que 90% des cas d'hospitalisation fussent des non-vaccinés, au point de recourir à la menace d'une taxe, un an plus tard c'est le silence. Combien d'enfants hospitalisés sont vaccinés? Soudainement, le très scientifique Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a décidé d'évacuer ces données qui furent utilisées pour associer les non-vaccinés à des dangers publics.
Revenons à nos vaches. Lorsqu'on associe la science au progrès, c'est pour éviter de nous informer que ce qui rend solide cette barrière entre les évènements et les citoyens est notre docilité. Cela implique non seulement l'idée que notre téléphone devienne l'équivalent d'une laisse à chien, mais aussi d'accepter l'idée de sacrifier des gens pour en sauver d'autres. Lorsqu’on reconnaît que les gros virus optent pour l’euthanasie arbitraire de millions d’animaux, lorsqu’ils sont contaminés par un petit virus, on peut s'interroger sur les conséquences d’une «animalisation» de l’humanité. Je ne dis pas que nous sommes menacés par un génocide comme l'affirme Bill Ryan, cité plus haut. Je crois par contre que la propagande nous achemine vers l'idée de revoir notre façon et notre droit de nous reproduire, au nom de la sécurité sanitaire.
Actuellement, de nombreuses femmes aimeraient avoir un enfant sans avoir un ventre rond et devoir vivre la douleur de l’enfantement. Sont-elles aussi disposées à accepter une intervention génétique? Le 25 novembre 2022, Isabelle de Conscience du peuple a informé ses lecteurs de l'existence d'incubateurs pour faire grandir des bébés. Qui décidera de se doter de cet appareil sans s'assurer que le produit sera conforme aux attentes? Lorsqu'on emprunte ce sentier du progrès, on tend aussi à peser l'humain comme s'il était un morceau de viande pouvant être optimisé par la manipulation génétique. Il y a près de 150 ans, le bœuf Angus est né par des croisements qui ont augmenté le taux de gras dans sa chair, rendant ainsi sa viande plus savoureuse et les profits plus alléchants. Mais encore, en plus d’être agréable à manger, l’Angus peut se comparer au citoyen idéal qui refuse de briser la barrière en plus de répondre aux dogmes identitaires des mondialistes qui se retrouvent à la tête des gouvernements et d'institutions. Ce bœuf n'est pas blanc comme le nationaliste raciste qui torture des lutins dans sa cave pour connaitre la cache de ses cruches d'or. Il est aussi dépourvu de cornes, ce symbole de dominations qu’on associe aux luttes, parfois sanglantes, qui provoquent une diminution de la production de lait des vaches Angus.
Le Québec est-il malade?
Cela dit, lorsque nous résistons, nous devrions avoir les capacités pour nous poser des questions. Avec l'arrivée du petit virus, nous avons la fâcheuse tendance à croire qu'en attaquant certaines situations, comme le résultat des élections du 3 octobre 2022, nous monterions les marches de la liberté. En réalité, ce que nous vivons ne fait qu'exposer nos tares. Non seulement cela ne fait pas de nous des personnes résistantes, mais plus l'étau se resserre, plus nos choix de société s'expriment selon ces deux possibilités:
Une révolte sociale associant la résistance à la violence.
Une secte pour s'unir autour d'un collectif qui préconise une pensée unique.
Le premier point nous montre une réalité que nous refusons de voir. Le Québec a les deux pieds dans le sable mouvant. Il aurait pu marcher ailleurs, mais le capital anglo-saxon et les relations publiques lui ont montré ce chemin qui n'exige aucun dépassement de soi. Et une fois qu'il a les deux pieds dans le sable, on n'a qu'à lui demander de bouger, pour qu'il puisse s'enfoncer et disparaître lentement. Nous en sommes là, encerclés et effacés de l'espace public. Qui viendra à notre rescousse? Lorsque le petit virus faisait sa tournée mondiale, avec pour agence de promotion, 125 députés québécois, des firmes-conseils, des «scientifiques» et une cinquantaine de potiniers des grands médias, le seul qui a tendu une perche pour nous sortir du sable fut le chef du Parti conservateur du Québec (PCQ): Éric Duhaime. Celui qui s'est transformé en sauveur ou gourou. Mort sur la croix après 35 jours de campagne, il est devenu le symbole de la résistance. Je suis désolé, mais lorsqu'on croit qu'un porteur de bâton peut devenir le chef d'une nation, à cause de l'immobilisme des autres, avant de l'aduler, on devrait se demander comment on fait pour museler autant de monde. Si on finit par croire que les responsables seraient des gros virus, on a alors l'obligation de se demander si le sauveur pourrait agir en son nom.
Avant d'actualiser le site de PH7, j'ai offert une première version du Réseau de la CIA. Aujourd'hui, alors que la Coalition avenir Québec (CAQ) de Francois Legaut dirige le pays, tout s'annonce pour que nous soyons les premiers à entrer dans le jeu. Lorsqu'on résiste, on apprendre qu'il y a deux façons de le faire: avec soi-même pour guide et décideur ou avec son guide surnaturel. Chez PH7, nous affectionnons les Wogmob pour souligner que la laideur sera toujours un obstacle à la naissance de cultes. Nous croyons de même que cette laideur peut prendre le visage d'un opposant au mondialisme qui gerbe sur les incompétents, les mythomanes et les gens qui se prennent pour Dieu. Quelque chose qui ressemble au Christ qu'on aimerait effacer de l'espace public pour exterminer la résistance à la bêtise.
Je n'irais pas plus loin, si ce n'est pour ajouter qu'en 2009, avant que Macron, le président de la France, prononce de façon incitative les mots NOUS SOMMES EN GUERRE, je les écrivais dans Le Livre Amer. Dans ce même foutu livre j'affirmais que le «QUÉBEC EST LE TREMPLIN DU NOUVEL ORDRE MONDIAL». Manifestons et résistons en attendant de pouvoir voter pour un gourou en 2026. Êtes-vous certain de l'implication des années 20? Pour moi la vraie résistance se définie par ces trois petites phrases énoncées en 1988 par l'artiste Monty Cantsin (Istvan Kantor) dans I Am Monty Cantsin:
Montrez ce qu'ils cachent.
Dites ce qu'ils taisent.
Faites ce qu'ils veulent arrêter.
Pour les personnes qui croient que ces mots de Cantsin sont trop lourds de sens pour définir la résistance que nous devrions nous offrir pour le mieux-être de notre collectivité, c'est peut-être le diable qui chuchote dans nos oreilles (en anglais) pour que nous acceptions de tout perdre. Trop étrange! Le moins dérangeant que je peux vous proposer est La fin du monde de Robert Charlebois.
Soyez positifs.
Après l'Apocalypse 18, ça ira mieux.